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13 Septembre RIBADECIO / OPEDROUZO 23 Kms
Bonne nuit, préparation pour notre marche du petit matin. Nous marchons d’un bon train. Ce qui surprend ce matin c’est le nombre de pèlerins sur le chemin. Il y a eu de la route mais du chemin agréable a marcher. Le trajet est assez vallonné. Vers 10h, nous nous arrêtons pour prendre une boisson. Nous sommes stupéfaits du nombre de pèlerins, c’est presqu’une procession. Le trajet se passe bien, nous avons le bon rythme. Je trottine derrière les Claude pour ne pas être lâché mais ca va. Nous arrivons à O Pedrouzo à 12h30. Nous avions envisagé un gîte et nous devions passer sur les bords de la ville quand nous avons rencontré un groupe qui revenait et nous informait que le gîte en question était complet. Il reste le gîte communal sur l’autre route. Mais il y avait 60 à 70 pèlerins qui attendaient l’ouverture à 13h.
A 100m un privado avait encore des places. Le gîte nous semble très bien, assez récent Nous nous installons. En effet le gîte est moderne, bien organisé et bien installé. Une machine à laver est disponible mais il faudra faire la queue. Pendant que nous attendons notre tour avec Joan, les Claude vont faire les courses pour le déjeuner. Il y une grande table prévue et nous nous y installons en attendant la fin de notre lessive. Il fait très chaud, le linge devrait sécher facilement, encore faut-il trouver de la place pour l’étendre. Dans l’après-midi après une bonne sieste, nous nous organisons pour la dernière étape demain pour Santiago. Nous souhaitons aller dans un hôtel, Joan verra sur place. Comme ce sera certainement notre dernière soirée avec Joan, nous prenons un apéritif, mousseux espagnol, avant d’aller diner dans un restaurant en face du gîte. Le repas proposé était assez différent des autres jours. C’était très bien et cela nous changeait. Nous avons même eu droit à une liqueur. Nous sommes rentrés tard, tout juste le temps de se mettre au lit avant l’extinction des feux. La nuit fut assez spéciale, peu de gens dormait, et beaucoup se sont levés la nuit. Est-ce la veille de l’arrivée à Santiago ? L’on sentait que c’était la fin du parcours, plus de décontraction.
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