22 juin PARIS- BILBAO
Départ à 6h30 d'Asnières. Patrice nous emmène à Roissy, ClaudeB nous attend sous le pont de Clichy. Direction terminal 2G à Roissy , terminal que nous découvrons, il dessert la France et quelques villes limitrophes. Il n'y a que des avions de petite capacité, en général moins de 100 personnes. Le vol se passe très bien, nous avons un encas avec du café et du thé . Arrivée sur Bilbao sous un orage. À la récupération des sacs, il manquait le mien. À la réclamation, la personne parle un peu français ce qui nous a facilité la tâche, surtout pour moi. Quelques documents à remplir et attendre des infos. Il y a un avion en début d'après-midi et en soirée en provenance de Paris. Il faut attendre le prochain vol. Nous allons en ville par le bus. Nous descendons au musée Guggenheim. ClaudeD ne connaissait pas le musée, de nom seulement, il va le visiter alors qu'avec ClaudeB nous prenons un sandwich. En début d'après-midi je vais à l'aéroport pour voir si mon bagage est arrivé. Malheureusement rien. Je reviens au musée. Nous réfléchissons à la suite des événements pour ce soir, nous avons un toit et nous irons par le métro au lieu de marcher. Il faut que j'achète des médicaments et le nécessaire de toilette. Nous appelons air France qui nous donne le feu vert pour quelques dépenses qui seront remboursés. Il me faut également un chargeur pour mon téléphone. Nous décidons que le lendemain les Claude partirons, j'attendrai mon sac et je les rejoindrai dès que je pourrais. Le soir pas de bagage. Nous allons à Portugalete par le métro. À l'arrivée il pleut. Nous cherchons la pension, ce fut difficile parce qu'elle se trouve au bout d'une rue qui est de l'autre côté de la grande rue. La pension est rustique, propre, spacieuse, ce n'est pas très cher non plus, c'est bien. Les Claude me prêtent des vêtements pour le lendemain, chaussettes, polo, slip. Nous descendons sur le port pour trouver un restaurant qui est à 500 m. Il y a beaucoup de monde. Nous voulions du poisson, c'est l'un des grands ports de sardines, mais c'est cher. Nous nous Rabatons sur un restaurant de rationes. Demain les Claude partiront alors que moi j'attendrai mon sac. Avec ClaudeB nous nous sommes couchés, nous sommes endormis très vite car nous n'avons pas entendu ClaudeD rentrer. Il avait retrouvé ses lunettes.